TANT MON AMOUR POUR TOI…
Que mon homme chérit pour toujours
Ce front éclairé de cette amour
Qui jadis portait cet emblème
Du plaisir qui faisait mon charme
Belle qu’elle fut par excellence
Et dans ces rayons luminances
Qui ont pour ainsi dire de l’ampleur
Quant elles pénétraient en nos cœurs
Au teint parfait la femme des rêves
O beauté, joie à mes entraves
Du ciel ou de l’enfer qu’importe
Propice fut ce moment divin
Qui nous pochardait comme du vin
Du temps où nous fumes dans cet Eden
DAME NOIRE
Dame noire en qui avons toute foi
Au cœur bon où résonne cette voix
De paix et d’amour à leur être
Que jadis avaient nos ancêtres
Toujours plus qu’aussi vénusienne
La sauvegarde de ton honneur
Pour cette journée qui est la sienne
Ne sera point pour nous horreur
Louant ta belle image du ciel
Brillant aux rayons du soleil
Dame, éducatrice de nos âmes
Ainsi sous tes plus forts appas
Dame, tu guidas nos premiers pas
En ce monde où se meurt le charme
DIVIN MIRACLE D’AMOUR
Doux et beau paysage reposant
Ainsi Nature nous offre souvent
Des aumônes inestimables
Afin de rendre la vie agréable
Nature par miracle d’amour
Confia au monde velours
Sagesse, souffle de vie et gloire
Mais les hommes devinrent si avares
Qu’ils l’occirent dans ce paradis
Mais sa grâce ne fut point tarie
Pour ces hommes qu’il a tant aimé
Et la terre toujours comblée
Par ces bienfaits promis d’emblée
A la création de cette humanité
CONSOLENTE MORT
Clémente mort, signe de liberté
Ainsi sous tes traits vénustés
Tu délivres de cette servitude
Du corps qui est une habitude
Tu libères ainsi du corps l’âme
Et cette erreur de l’homme infâme
Te prêtes une allusion funeste
Prouvant que les hommes te détestent
Tu soulages l’âme par ton repos
En l’offrant ton précieux cadeau
Qui est sans doute ton sens libre
Consolatrice des affligés
Joie des âmes qui ont tant peiné
Nous t’implorons, O sublime mort
MIGNONNE EST LA ROSE…
Mignonne est la rose de ma vie
Qui sans cesse procure cette envie
De pouvoir ainsi la chérir
Quotidiennement avec plaisir
Ainsi ce nom panoraculaire
Apporte tant de vertu sur cette terre
Qu’autrefois les nones de janvier
Placés en mon âme comme levier
Comme dans l’état de l’ivresse
Mon cœur se sent entré en transe
Chavirant dans cette amour sombre
Pour ce cœur si helleniesque
Qui d’un amour paradisiaque
Me plonge dans l’éternelle extase
HYMNE A LA BEAUTE
Quand finissait ce bel Apollon
Et son siècle de néant
O rose, que tu sentais bon
Comme le début d’un nouvel an
Ainsi pour cette plus grande beauté
Qui n’est sans doute que velours
Héritage de Junon cette clarté
Qui parait brillant en votre tour
Les hommes sont si pervers
En cherchant leur propre plaisir
Qu’ils voient ton charme à l’envers
Pour ne satisfaire que leur désir
Inconnu de part ta nature
Tu ne nous procures que bonheur
Tu nous mènes avec envergure
Nous enivrant comme une liqueur
En t’offrant la nature divine
Sous les traits d’adorables anges
Avec leurs miracles qui te changent
En cette forme toujours câline
Ni celle qui apparaît d’enfer
Comme celle qu’on vous préfère toujours
Nous regardant comme des vautours
Sous des grands masques de fer
Qu’importe ton origine
Tu possèdes un charme très beau
Qui nous est offert comme cadeau
Sous des mains aussi mignonnes
Nul ne saurait défier ton charme
Satisfaction indispensable
Qui n’est sans doute qu’agréable
Que tu donnes aux âmes des hommes
Tu es la plus pure, la plus chaste
Tu procures une grâce exceptionnelle
Non seulement dans le charnel
Mais surtout dans un humaniste
Elles n’ont pas su te résister
Qu’elles se sont brouillées, mais Venus
Malgré Junon et ses grands bonus
Remporta et fut ainsi couronnée
EXALTATION D’UNE REINE
Sublime et clémente reine!
Votre charme orne les profondeurs
De mon cœur comme le fond d’une arène
Hanté par des esprits gladiateurs
Mon cœur gémit avec amour
Sous vos déclarations de velours
Que votre amitié dans ma tour
Soit fortifiée pour toujours
Ainsi ce destin si pervers
M’offrant un salut inutile
Mon cœur vous aimera jusqu’en enfer
Dans cette amour avec partage
La mort n’est point sans orage
En cette âme purement extasiée
HYMNE A LA VERTU
O doucissime mignonne
Beauté fraîche d’Athènes
Avec cet être de reine
Qui nous passionne
Daignez consoler l’âme
De ce pauvre homme
Jour et nuit versant des larmes
Pour vous déclarer sa flamme
Si de cette amour
Il en découlera toujours
Ne fut ce que du velours
Volontiers elle sera dans ma tour
Par vos rayons luminances
Qui garantissent cette confiance
Avec une grande puissance
Bouleversant ainsi notre existence
Vous avez une telle clarté
Émanant d’une sublime beauté
Qui offre à l’âme une acuité
Avec grande préciosité
Par votre splendeur
Que je dois à votre heur
Je vous tends ces clameurs
Des âmes sans honneur
DECLARATION INEDITE
Vous avez une voix de sirène
Et de la clarté de la lune
Avec une âme que rien ne peut
Où sont exprimés tous ces vœux
Votre personne a deodoré mon âme
Et votre présence me transperce comme
Une lame à double tranchants
Me privant de vos merveilleux chants
En moi ce manque de courage
De ne pouvoir vous chanter à travers les ages
L’amour que je vous porte toujours
Ne mérite la vie, moins encore la mort
Lorsque j’eu aperçu ta sublimissime
Et grande beauté, en mon homme
Le trouble fut important et énorme
Qu’émettez avec candeur votre charme
BEAUTE
Votre destin entre les mains des Parques
Vous menant à leur gré dans cette Barque
Où votre heur par l’amour de Pétrarque
Est exprimé en des sains vers italiques
Cet’amour qui de l’Olympe radieux
Met en votre chemin des dons précieux
Et repose en des certains lieux
Votre beauté sous un charme glorieux
Grandiloquentes sont les louanges des muses
Qui à votre beauté offre une telle apothéose
Que ces gardes prétoriennes fidèles et généreuses
Ne sauraient vous offrir en mort heureuse
La noble personne du poète Orphée
Par son sens distingué d’équité
A su parfaitement exalté votre sublimité
Nous épargnant de cette prolixité
Par sa musique la plus belle, Amphion
Aurait su parcourir sans coup férir l’Achéron
Pour ramener des enfers cette beauté qu’Apollon
Ne pouvait, avec Hadès, lier par un juron
Ce monde qui, charmait par les Nymphes
Dieux de nos jours à l’église apocryphes
A lancé aux hommes cette apostrophe :
De ne comparer votre beauté aux Sylphes
Beauté à laquelle par ses jugements l’univers
Ne puit exprimer un sentiment de revers
Beauté dans laquelle nous distinguons à travers
Les poèmes d’amour d’étonnants vers
Ni par ses chants les plus beaux, Pan
N’aurait pas bien chanté ce nouvel élan
Qui annonce le début d’un nouvel an
Immortalisait en un soleil rayonnant
Prospère votre beauté sous Mécène
Lui, qui de cet amour pour Athènes
N’offre asile qu’aux entrailles d’une reine
Que la Némésis d’elle-même nomme mignonne
MIGNONNE
Ainsi toujours mignonne
Avec ces attitudes de reine
Beauté et voix de sirène
En nous font taire la rancune
Votre beauté á la morphine
Écarte en nous ce gène
Et ouvre l’âme comme un urne
Chassant de nous cette haine
A vous nous dédions cette hymne
Amour en vous fleuronne
Votre être sans cesse incarne
Le courage d’une héroïne
Ainsi votre charme prône
Les beautés des âmes divines
Qui sont toutes pleines
D’amour pour nous câline
Vous avez une voix de lionne
Qui du courroux céleste émane
Secouant ainsi le grand chêne
Frappant la grande Babylone
Beauté qui ne se fane
Qui vainqueur fut d’Athènes
Porteuse toujours de la couronne
Qui mise jamais sur personne
SI LE GRAIN NE MEURT…
Si le grain ne meurt
Pour toujours il demeure!
La vie comme une épreuve
Sans cesse devant nous des entraves
Qui font des faibles des épaves
Et rend ainsi les forts en cave
La grande vertu qu’est la patience
N’est donnée à nulle existence
Moins encore à la science
Mais a sa source dans le silence
Aujourd’hui rejeté par le monde
Ignoré des uns pour inonde
Demain récupéré par abonde
Estimé des tous pour surabonde
Souffrance! Toi étape du salut
Notre seul et unique but
Ton chemin point n’aboutit en rue
Mais sagesse en toi est attribut
Persévérez frères dans cet univers
Les difficultés n’y sont qu’éphémères
Malgré cette résistance de fer
Qui nous fait croire à un enfer
Nous ne pouvons rien contre la Nature
Mais tous pour notre devenir
Garantissons ainsi notre avenir
Pour que nous ne puissions pas souffrir
Bien des gens en ce monde sont morts
Et ont disparu ainsi que leurs corps
S’ils ont vécu de manière à avoir tort
Comprenez combien est terrible leur sort
Jouissons donc de ce temps précieux
Créons ainsi un monde merveilleux
Où nos amis nous seront avantageux
Sur la terre comme dans les cieux
Si le grain ne meurt
Pour toujours il demeure!
PERVERSION DE LA VIE
Autrefois les désirs des hommes
N’étaient comblés que par les prémices
Et seule la vertu n’était que sublime
Aujourd’hui le temps n’a point de grâce
Si belle j’ai rêvé cette existence
Qu’elle n’en sortirait qu’aisance
Mais en ces jours pervertie par la science
Cette vertu qui n’était que puissance
Si des gens de condition basse
Ne peuvent rendre avec délicatesse
Cette vie qui n’est que caresse
Elle ne leur restera qu’ivresse
Dans cette vie avec partage
Point évitable n’est l’orage
Qu’à travers ces éphémères âges
Nous n’accueillons que le sage
GRANDEUR DE L’AMOUR
Votre amour en ma citadelle
Est tellement immortelle
Même nos croyances rebelles
Ne peuvent rien contre elle
Ta beauté éternise en mon cœur
Cette grandissime luminosité
Que les ténèbres avec leur rancœur
Ne peuvent arrêter l’intensité
Cet amour héritage prestigieux
Envoyé du haut par les dieux
En ces âmes où se meurt le glorieux
Et où rien ne leur est précieux
MERE
C’est d’une amour chère
Qu’en moi vous êtes mère
Vous qui la première
Conduisit mes pas sur terre
Toujours présente votre âme
Près de nous qui la lame
De ce monde larmes
Ne puit que faire drame
Mère à la beauté immortelle
Au cœur d’une citadelle
Source de toute vie en elle
Toujours aussi naturelle
Avec courage et patience
Vous avez supporté mes insolences
Et vous avez avec confiance
Donné à votre sang une chance
Mère, ainsi vous serez toujours
Comme des gardes sur la tour
Protectrice de ces jours
Que vous avez fait avec amour
SANS TITRE
Nul n’ignore sa petitesse
Mais chacun aime la classe
La vie est tellement belle
Que sa fin n’est plus naturelle
Elle apparaît devant tous
Comme un cadeau empoisonné
Mystère jeté devant nous
Qui ne doit nous enchaîner
Fortifions un avenir meilleur
Et soyons toujours solidaire
D’un amour qui rendra la terre
Comme au départ de sa valeur
Vivre toujours en harmonie
Soit notre devise idéale
Et que de cette amitié éternelle
N’en sorte que des perpétuels amis
La solidarité si elle demeure
La mort qu’un paisible passage
N’en sera. Et cette attitude de rage
Ne sera qu’une sublime fleur
La croyance d’une immortelle âme
Ne peut que donner charme
A cette mort et celle de l’amour
Un monde merveilleux pour toujours
DESTIN
Si nous ne vivons que sur destin
La vie n’aura aucun sens
Et rien ne sera en l’homme divin
Or tous doit reposer sur la conscience
Vivons toujours en homme libre
Et gardons ainsi l’équilibre
Pour que nous soyons seuls maîtres
Et non à nos vies seuls traîtres
Le destin enlève dans l’âme
La responsabilité que l’homme
En aucun cas ne doit fuir
Un homme consciencieux
Ne vit que comme dans les cieux
Et du bonheur ne fait que jouir
AMOUR FIDELE
En nous un amour fidèle
De vous qui êtes toujours belle
Et á jamais aussi naturelle
Ne sera guère cruel
Dans cet amour toujours fidèle
Je me donnerai corps et âme
Si vous ne me demeurez que féale
Et ne m’épargnez que larmes
Ce n’est en rien un mérite
Mais une grâce qui me profite
Cet amour de vous en moi fidèle
Comme l’apporte Icelui
Cet amour qui à jamais luit
Dans ce monde à l’amour infernal
VOUS QUI ETES…
Vous qui êtes à jamais belle
Remplissant toute solitude fidèle
D’une si noble clarté de chandelle
Qui sera en nos âmes perpétuelle
De votre naturelle si originelle
Qui d’une amour sensationnelle
Et celle des Grâces spirituelles
Ne puit que pour nous être telle
Chantons ainsi cette ère nouvelle
Qui d’Aphrodite fut réelle
Et encor de nos jours avec Celle
Que ce présent nomme Elle
PAIX
Pourquoi chez nous est elle rêve
Alors que pour les autres réalité
Cette paix qui n’est que brève
Et dans le monde d’une intensité
Est-ce là votre volonté Seigneur
Que l’Afrique manque d’amour
Que les gens s’y entretuent toujours
Et que la vie n’y soit meilleure
Sommes nous un peuple de seconde classe
Pour que soit ignorée notre place
En ce monde où il fait beau vivre
Et où les gens ne savent pas vivre
Depuis surtout les jours où déportés
De leur natale terre nos ancêtres
A ces jours où a disparu l’équité
Et est corrompu le libre arbitre
Le monde africain ne puit qu’être
Disons, victime noble d’adversité
Ou juste de mauvaise volonté
De la part des cruels êtres
Nous avons besoin de la paix
Pas seulement en Afrique mais
Surtout dans les cœurs des hommes
Et le monde trouvera son calme
Travaillons toujours ensemble
Sortira ainsi de cette union
La force qu’avecque bâtirons
En ce monde une paix durable
ABSENCE
De vous en moi cette absence
Que le temps par préférence
A voulu pour nous souffrance
Ne puit qu’avoir un sens
Elle ne sera guère éternelle
Et nous ne pouvons en elle rien
Si ce n’est que garder le lien
Qui à jamais uni nos belles âmes
L’absence n’est point la mort
Et ne peut guère changer
Ce noble sentiment d’amour
Dont nous pouvons embraser
Sans cesse de notre vivant
Et même au-delà du temps.
AUTRES
Sublime ce jour qui vous a vu naître
Où votre charme aux fins de la mer
En cette journée la plus sacrée de la terre
Au grand jour va enfin paraître
Que ce jour d’un amour câlin
Remplisse toujours du sacré vin
Cette âme pure et sur ce chemin
Vous ne trouviez qu’heureuse fin
Bonne fête de saint valentin
Que cet honneur sur vous femmes
En cette journée où votre âme
A la dignité retrouvée par l’homme
Ne puit donner au monde que charme
Vous paraissez comme une Grâce
N’apportant sur terre que Grâce
En vous vous n’êtes que Grâce
Vous que l’on nomme ainsi Grâce.
Par BAZIBUHE Jean Marie, Bujumbura;le 13Mai 2010
Friday, May 14, 2010
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