Friday, May 14, 2010

le problème de la vie humaine

LA MORALE
LE PROBLEME DE LA VIE
HUMAINE


Par BAZIBUHE Jean Marie vianney








I. PARTIE. LE PROBLEME : la Vie humaine!


CHAP. I – QU’EST-CE QUE LA MORALE ?

1/ la MORALE est le problème de la vie de l’homme
*Enquête : qu’est-ce la « la morale » pour les gens ? Et vous ; que dites-vous ?...
>Ce n’est pas, avt tout un ensemble…
… d’interdits/ tabous à ne pas violer ;
… de lois-normes à observer ;
… de conduites-comportements sociaux à suivre !

>La morale est avant tout… le « problème de la vie humaine » !

La Morale est la ré-flexion sur le problème de la vie humaine :
Comment réussir sa vie ? Comment la faire grandir ? Comment la rendre heureuse ?...
Un problème qui se pose non pas pour les pierres, les arbres, les étoiles, les animaux mais seulement pour l’homme !

2/ Qu’est-ce qui fait PROBLEME dans la VIE HUMAINE ?

R/. C’est que la VIE HUMAINE …ne va pas de soi !
*le problème, c’est que l’homme est appelé à réfléchir et décider sur soi-même, sur sa vie sur son « être dans le monde »…parce que la vie humaine est un pari, un défi et un mystère !
En effet :
1°-La vie humaine n’est pas là… déjà « toute faite » !
Bien au contraire ! Elle n’est pas faite : elle est à faire, à construire à bâtir, à réaliser…
La vie humaine nous est donnée comme : > une graine à semer…
> un rejeton à soigner..
> un champ à cultiver…
> une lettre à écrire…
> une maison à bâtir…
2°- Elle est une énigme, un mystère, un grand défi…
L’Homme ne sait pas le sens de sa vie :
= pour quoi vivre, le but, la signification…
= comment vivre, par où aller / la direction

L’Homme est le seul, parmi les êtres vivant terre, qui ne connaît pas « à priori » la formule sécrète, efficace et automatique, de sa vie sa réussite… « L’oiseau connaît par instinct le dessin de son nid ; le lionceau retrouve d’instinct le chemin da sa tarière, l’homme, lui, doit découvrir et se frayer, seul son sentier dans la foret mystérieuse et périlleuse de la vie » (Dostoïevski).

3°- Et pourtant elle est une chose bien petite, fragile, pauvre et délicate… hétéro-dépendante en tout :

Cfr le bébé : pour manger … marcher… sourire…pour aimer…pour découvrir soi même… pour tout : l’Homme a besoin de l’autres des autres !

La vie humaine, au quotidien, c’est une bien « pauvre chose », précaire et limitée… mais c’est dans ce quotidien insignifiant qui se décide / se construit… ou s’abîme peu à peu la vie tout entière !

4° Et pourtant elle est… unique : il n’y en pas d’autres !
D’existences, pour toi, il n’y a qu’un seul, celle-là exactement et exclusivement… que tu es en train de vivre ! Il n’y a pas « d’une autre » … de rechange ! Chacun n’a à disposition que ce petit « bout de vie » qui va de sa naissance à sa mort !

Curieusement, nous n’avons conscience ni du début (= la naissance) ni bout de notre existence (= la mort) : l’on … « se trouve à vivre » et l’on risque de croire… d’avoir toujours vécu …. Et du moment que personne ne peut avoir, non plus, une véritable expérience de sa mort (… sinon quand c’est déjà trop tard !) on risque de vivre dans l’illusion de pouvoir vivre indéfiniment !

Ainsi, les deux termes extrêmes, infranchissables, qui inexorablement encadrent et délimitent notre « aventure humaine », échappent tous les deux à notre expérience. Et ils risquent d’échapper aussi à notre conscience !

Il faut donc vouloir positivement et personnellement rendre conscience du fait que notre existence est unique, brève fugace…il faut exorciser en nous l’impression qu’elle soit infinie, opportun de nous prendre en charge en pleine liberté et responsabilité…

5° Elle peut réussir…ou échouer !

La vie peut devenir quelque chose d’extraordinairement exaltant et rayonnant quelque chose de vraiment… beau et bon ! Quelque chose qui rayonne la joue, le bonheur, la bonté et la beauté !
Mais elle peut aussi échouer complètement et définitivement ! Elle peut aussi se transformer en quelque chose de terriblement laid, dégoûtant, misérable, pitoyable et malheureux … pour soi même et pour les autres ! Cfr les soûlards, les clochards, les débauches, les bandits, les voleurs, les terroristes… Et… ce choix-là, dramatiques, et définitif, ne répand, finalement, que de Toi !


6°- ET TU EN EST RESPONSABLE !

La vie est… dans
tes mains ! Ta vie dépend, finalement, de Toi !
C’est chacun qui décide « quoi faire » effectivement de sa vie… Et chacun « sera digne » de la vie qu’il aura, de fait, bâtie lui-même …
Les Autres peuvent t’aider ou t’entraver… mais la réussite ou l’échec final dépend finalement de toi ! Personne, même pas Dieu, ne peut te remplacer sur le chantier de la vie : Qui fecit te sine tenon salvabit te sine te (St Augustin).(celui qui t’a fait sans toi ne peut pas te sauver sans toi).

CHAP.2 –Comment assumer la responsabilité de sa vie ?

*1°/ Des résistances psychologiques à vaincre…

* La vie n’est pas donnée une fois pour toutes ! Il faut jouer le jeu de la vie, et le reprendre chaque jour !

Mais pour ce faire, il faut vaincre les multiples obstacles et écarter touts les pièges et embouches que nos auto-défences émotives et psychologiques mettent, consciemment et inconsciemment, sur notre chemin, pour nous… « déconseiller » et décourager, ou npour nous détourner carrément de l’entreprise…

Et on le comprend, car pour pouvoir grandir en humanité, tout véritable démarche morale doit « entrer dans le vif » et « couper dans la chair » de notre existence humaine !

* Parmi ces « résistances » ou « auto-défences » sont à noter :
1°- la paresse, la fainéantise, le désir de la fausse tranquillité et du « status quo » ; le refus de mettre en question « les acquis » : les habitudes, les privilèges, les préjugés, en un mot, notre style de vie !

2°- la peur… de « l’autre, le différent »… la peur « du nouveau », la crainte de tout change-ment et aussi la peur de risquer, de lutter, de s’engager… de se lancer dans la vie !

3°- la superficialité, qui empêche d’aller en profondeur, qui fait « papillonner » et « vivre en flash », en passant d’une expérience=émotion à une autre, sans jamais s’arrêter et « se décider » pour quelque chose de valable et de stable.

4°- la résignation, le compromis équivoque ; l’anesthésie des grands désirs et des grands idéaux ; l’acceptation d’une existence banale, sans aspirations, sans sursauts, vécue dans l’ambiguïté et la « mauvaise foi »…

5°- l’intellectualisme, le moralisme, qui anesthésient la réalité, stérilisent l’inquiétude existentielle et la « compassion » du chercheur… à travers le filtre psychologique ou intellectuel du prétendu « réalisme » ou de sa propre ‘idéologie’ ou de la soi-disant objectivité scientifique.

6°- l’aliénation, le fait de ne s’appartenir pas, de vivre et agir comme un robot, sous la suggestion d’un manipulateur sans scrupules ou l’exaltation d’un fanatisme aveugle ou l’intoxication fatale d’un idéologie aliénante… Tout ce qui empêche d’être soi-même, de s’accepter et s’assumer « tel qu’on est ». Au contraire, on nous fait rêver continuellement une vie « tout autre », tout à fait différente et irréelle ! On vit ainsi l’illusion… et dans l’attente naïve et fataliste soit d’un changement apocalyptique soudain soit d’un impossible miracle du ciel !

7°- le masque du mensonge et de l’hypocrisie, érigés en système de vie, où la personne vit constamment dans l’ambiguïté existentielle et agit « en mauvaise foi », en se trompant soi-même… plus ou moins consciemment et librement !
Ø Derrière tout cela, se cache souvent « la nostalgie existentielle fœtale »… de retourner et se réfugier à nouveau dans le ventre maternel ! Cette ‘paresse existentielle’ exprime, en tout cas, « le refus de vivre » et d’assumer ses propres responsabilités personnelles et sociales…


*/ 2. Conditions ou attitudes personnelles nécessaires pour bien jouer sa vie d’une manière féconde et fructueuse :


1°) Se réveiller à la vie ! = prendre conscience de sa propre vie concrète, ici, aujourd’hui : se rendre compte de sa valeur, de son importance, de sa beauté… de son unicité, de sa fragilité, de ses risques et de ses potentialités à développer !

2°) « Vouloir vivre ! » = avoir le goût et le désir de vivre, et de vivre en plénitude, de grandir, de mûrir, de s’épanouir toujours davantage : « cultiver des grands désirs » et des grands « rêves » !

3°) Assumer la responsabilité de sa vie= « la prendre en main », telle qu’elle est, pour lui donner un « sens » global unique, pour la marquer tout entière d’une empreinte personnelle profonde, afin qu’elle croisse et soit belle, heureuse et significative, d’après un projet de vie idéal, cohérant et fidèlement poursuivi.

4°) Accepter de se mettre et remettre toujours en question … ses propres options, projets, désirs, sentiments, réactions, attitudes, habitudes, conduites, comportements = conscients, préconscients et inconscients ; son propre passé, son présent et son ariver … Non pas par une volubilité existentielle maladive, mais par fidélité profonde et vraie aux appels de la vie et de l’histoire, qui évoluent et changent…

5°) Rester donc attentifs, lucides, souples et disponibles vis-à-vis des nouvelles situations, réalités, événements… pour ne pas les subir passivement ni les accepter d’une façon naïve, mais afin de pouvoir y discerner les potentialités nouvelles qui s’ouvrent devant nous, « les signes des temps » qui interpellent notre courage et notre responsabilité.

6°) Marcher dans la Lumière de la Vérité… Jn 3,19-21 ; 8,12(*BJ) ; 1Jn 1,5-7.

7°) Lutter contre tout ce qui blesse l’humanité, en toi et dans les autres !
L’H. n’est pas une île… Si je me lève, je lève le monde ; si je baisse, je baisse…





















CHAP.3 – LA VIE ET LA MORALE


1/ Importance capitale d’une réflexion sur « la vie »

… Si la vie humaine est un problème crucial et décisif… et si c’est à chacun de le
résoudre… il faudra bien donc y réfléchir !
Ré-fléchir>illuminer-éclairer>à nouveau !
* Il s’agit d’une « réflexion », c-à-d. un retour de la pensée », un revenir rationnellement
sur « le phénomène de la vie », afin de pouvoir l’étudier et comprendre, pour bien
l’orienter et la « programmer ».

* La réflexion morale est donc « seconde » et conséquente… par rapport à la vie vécue :
d’abord « on vit » et ensuite, « on réfléchit sur le vécu » : « primum vivere, dehinde
filosofari !

Ainsi, « la morale » (comme discipline philosophique ou théologique) suppose, implique, exige et réclame à la base, comme sa véritable source, « un vécu moral » i.e. une vie/ une existence humaine concrète, bien vivante, intense, en pleine croissance… Sinon, philosophie et théologie morale ne seront que des vaines théorisations et de stériles élucubrations d’intellectuels désoeuvrés !

* Mais « seconde », cela ne veut pas dire… «secondaire » !
Même si, en un certain sens, elle vient « après », la réflexion morale est et reste nécessaire et indispensable, fondamentale même ! Afin de pouvoir déceler et comprendre « le sens » du mystère » de la vie humaine, de toutes et de chaque vie humaine !

En effet ; c’est seulement grâce à une réflexion et à une discernement ; personnel ou communautaire spontané ou « scientifique » ; qu’on peut saisir et comprendre la valeur transcendante de la vie quotidienne. Et c’est alors seulement qu’on peut bâtir sa propre vie dans la liberté et la responsabilité, par rapport à… un Projet de vie global et à un Idéal de plénitude et de bonheur !

* la réflexion éclaire et oriente ainsi la vie quotidienne ;
Comme la vie donne consistance, urgence et importance à la réflexion morale !
Les deux sont indispensables et complémentaires pour « réussir » une vie humaine belle et heureuse !

*2/ Une réflexion qui « engage » et « compromet »

* Ainsi donc, la réflexion morale ne peut pas se réduire à « une étude scientifique », neutre ; ni à une élucubration abstraite, ni à un exercice facultatif ! Bien au contraire, elle s’impose comme une réflexion « nécessaire », qui engage et implique directement toute la personne dans une démarche ou chacun est, à la fois, « sujet » et « objet » de la recherche…

* La réflexion morale est donc, avant tout, « un questionnement personnel », sur soi-même, sur sa vie, sur son destin ultime. Un questionnement et un discernement que chacun est appelé à faire, au cœur de sa situation concrète et dans quotidien de sa vie…


* Il s’agit donc d’une réflexion qui nous touche, nous concerne et nous implique directement et personnellement, dans l’effort exaltant et impératif, pour chacun, de saisir le dynamisme profond de sa propre vie, afin de « la réussir » et de l’épanouir en nous et autour de nous, jusqu’à sa plénitude. C’est une réflexion qui doit donc se faire nécessairement « à partir » de la vie et « au cœur » de la vie… =de ta vie, et de celle qui te lie, solidairement et indissolublement, aux autres…

* C’est en fait seulement « au cour de sa vie », qu’on peut découvrir, les aspirations les plus vraies et les plus vitales de son propre être, les appels des hommes et les appels de Dieu qui nous invitent et nous « forcent » à sortir de nous même et à « nous mettre en marche vers la terre promise » de la pleine liberté et du bonheur total, dans l’auto transcendance de l’Amour.


*3/ Le vécu, la réflexion et la science morale : une distinction importante !

* Quand on parle de « morale » ou de « l’éthique », il faut toujours bien définir et bien comprendre à quel niveau l’on se situe… En effet, la Morale et/ou l’Ethique peuvent indiquer à la fois :

=1°/ le vécu, au niveau existentiel : la Morale, c’est alors la vie, quotidienne et concrète ! C’est « l’expérience morale », telle qu’elle est vécue, le jour au jour, soit personnellement soit socialement… dans les expressions : « celui-là, c’est un type absolument amoral » ; « ta conduite est immorale », etc.

= 2°/ la réflexion sur sa vie et sur son expérience :

a- soit comme « discernement » personnel sur son « être- dans- le monde », sur les évènements à affronter, sur les décisions à prendre, etc.
b- soit comme « tradition morale » et sagesse collective d’un groupe humaine, d’un peuple ou d’une culture, là où on essaie de répondre collectivement et progressivement aux besoins vitaux, en rapport aux défis du milieu ambiant auxquels on est chaque fois confronté.

= 3°/ la science morale, i.e. la réflexion scientifique et systématique sur « le fait moral », soit au premier niveau (du « vécu » humain), soit au niveau de la réflexion et du discernement personnel ainsi que de la sagesse populaire et des traditions morales des peuples et des cultures (=2°).

- Ainsi « la réflexion morale » assume comme son propre « objet » :
o Soit le vécu et l’expérience morale (premier niveau)
o Soit la réflexion personne et sociale sur la vie (2ème niveau)

Et ceci, dans le but d’en systématiser les données, pour mieux les « comprendre » en profondeur, pour mieux les orienter.
- La « science morale » (2e niveau) peut se situer à son tour :
> soit au niveau de la réflexion rationnelle (= on a alors la philosophie morale ou l’Ethique),
> soit au niveau de la foi chrétienne (=on a alors la théologie morale)

La philosophie et la théologie morale sont « une réflexion systématique sur la vie humaine dans une perspective de croissance, de plénitude et de bonheur ». La réflexion morale veut déchiffrer ainsi « le mystère de l’aventure humaine » et dessiner les grandes « lois de la croissance humaine intégrale » qui puissent aider chacun à rechercher et à marche sur le « bon chemin », vers la perfection et la plénitude de la vie et de bonheur.
4. – NOTE : Multiples acceptions des mots « morales » et « éthique » :

1. Dans l’emploi populaire, courant :
M. = l’observance de la loi et/ou de la tradition…
Donc « morale » est une conduite extérieure, un comportement conforme… à la coutume et/ou aux normes sociales… Aussi Jésus qui n’a pas toujours observé la tradition juive plus stricte… est accusé par les autorités juives d’être immoral ou même un ‘malfaiteur’ (Jn 18,30)


Voir les acceptions, encore plus restrictives et négatives :

- soit de la morale traditionnelle, qui réduit parfois « moral »… au sixième commandement (cfr immoralité/immoral = débauché, corrompu, sensuel, licencieux sexuellement) ;
- soit dans la mentalité moderne (cfr les jeunes : « la morale », c’est une camisole de force, une attente à la liberté personnelle !).

2. Au niveau étymologique :

- en latin : Morale : mos/mores = mœurs/ les coutumes, la tradition
- en grec : Ethique : ethos = la coutume, les traditions…

NB : En grec, « ethos » au singulier, indique aussi « le caractère » c'est-à-dire « la personnalité morale et spirituelle » de l’individu : … une acception qu’on a malheureusement perdue dans les emplois latins et modernes.
Donc, du point de vue étymologique : Morale… = Ethique !

3) Les sciences sociales et anthropologiques donnent parfois différentes acceptions de la Morale et de l’Ethique. Ainsi :

a) L’anthropologie culturelle
>>> définit la Morale comme : un code de conduite sociale pratique, reconnu, partagé et protégé légalement par/ pour un groupe socioculturel déterminé ;
>>> tandis que considère l’Ethique comme = l’idéal collectif, qui donne sa raison d’être fondamentale à groupe social, les conceptions idéales de la vie collective : les valeurs, les finalités et les aspirations dominantes d’une culture ou d’un groupe socioculturel.
b) Les Sciences sociales : La Morale est l’ensemble d’obligations, de règles, de lois, de préceptes, des traditions, de tabous/interdits…
--- qui constituent « la façon d’être », de sentir, de juger, d’agir et de vivre… d’un groupe social déterminé,
--- qui définissent et régissent les différents rôles sociaux et spécifient les modèles culturels de comportements souhaités,
--- qui sont présentés et ressentis comme signes et moyens d’identification, ainsi que d’intégration sociale au groupe.

Ils sont donc proposés et assumés nécessairement par tous les membres du groupe comme des « impératifs catégoriques » i.e. comme des normes de conduite absolues et absolument obligatoires, « normatives » et « normales » pour tout membre du groupe.

4. Pour la Philosophie : la Morale = la science du Bien et du Mal.

> OU MIEUX= La recherche du sens, comme direction/chemin et orientation de la vie : = la quête du sens ultime et global de la vie humaine, i.e. le but et l’horizon (personnel et/ou collectif) de perfection, de plénitude et de bonheur humain ; et, en même temps, la recherche des conditions, moyens et chemin… pour y parvenir !

> Parfois on définit l’Ethique comme « la science de la Morale » i.e. comme « la réflexion théorique sur les conditions d’existence d’une morale »… ou bien comme « un système moral » c'est-à-dire une théorie philosophique du « fait moral » (élaborée soit par un Auteur ou par une Ecole particulière).

5. pour la Théologie : la TM (= la science du Bien et du Mal… d’après la Loi de Dieu
(selon les Dix Commandements et les lois de l’Eglise…
> Ou bien = « la quête du sens » de l’existence humaine, et des chemins de la perfection, de la béatitude et du bonheur total de l’être humain, …à la lumière de la Révélation chrétienne et dans l’horizon de l’Histoire du salut, dans une attitude de Foi/ obéissance radicale à la Parole de Dieu…

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